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Pascal Machet, blancs de blancs
Commençons par les champagnes vifs, au caractère minéral et iodé, parfois pulpeux comme cette cuvée vinifiée entièrement avec du chardonnay enraciné sur un domaine familial de quatre hectares. Après trois ans de repos en cave, il ressort au premier nez sur les agrumes et l’ananas, au second sur les fruits mûrs, avec des notes poivrées, bouche fraiche et persistante sur une note saline. À partager avec des poissons en ceviche. 26,30 €. Photos DR
Caillez-Lemaire, extra brut cuvée « Reflets »
Assemblage de pinot meunier (45 %) pinot noir (35 %) et chardonnay issus d’un domaine en conversion bio, ce champagne exhale des arômes de groseille et d’agrumes qui évoluent vers un registre floral et brioché. Attaque tout en douceur, mais de la densité, de la complexité en bouche avec une finale légèrement acidulée. Une cuvée élégante et digeste pour un plat crémé. 29 €
Gaudinat-Boivin brut sans année, cuvée « grande réserve »
Cet assemblage de chardonnay (40 %) pinots meunier et noir, vendangés en 2018, a reposé quatre ans en cave avant de livrer ses secrets. On aime la délicatesse de ses arômes d’agrumes, de fruits exotiques et une touche de pain blanc. On savoure ses fines bulles, sa vivacité en bouche, son caractère pulpeux et subtilement acidulé. Un simple apéritif mettra en lumière les qualités de ce champagne très équilibré. 23,40 €
Feneuil-Pointillart extra brut cuvée « Marquis de Luth »
Faiblement dosée, élevé en cuve inox avant un stage de trois ans en cave, ce 100 % chardonnay réjouira les amateurs de champagnes toniques et vifs. Agrumes, pêche blanche et fleurs des champs au nez, élégance en bouche où il persiste sur une finale saline, ce champagne droit, tendu, s’accordera avec une sole meunière. Excellent rapport qualité/prix. 22,20 €
Louis Nicaise extra brut millésime 2016
Concluons cette échappée sur les champagnes vifs avec cet assemblage classique de chardonnay (70 %) et pinot noir, régulièrement médaillé. Nez d’agrumes et de pêche de vigne, avec des notes de foin et d’amandes fraiches, bouche incisive avec une finale fondue sur une touche iodée. Tout ce qu’il faut pour relever un bar au four en compotée d’oignons. Notre coup de cœur. 24 €
Hénin-Delouvin brut sans année, cuvée « Harmonie »
Ronds, charnus, gourmands, les champagnes fruités conviennent davantage à des desserts ou des viandes confites. C’est le cas de cet assemblage de pinot noir (50%), chardonnay (40 %) et pinot meunier issus majoritairement de la vendage 2020. Effluves florales et fruitées, avec des notes d’amande, bouche fraiche et saline, ce champagne est idéal en entrée, avec un velouté de potimarron aux noisettes. 25,92 €
Toubart, brut sans année cuvée « Grande réserve »
Pinot meunier (50 %), chardonnay (40 %) et pinot noir se confondent dans cette cuvée tonique et gourmande. Nez d’agrumes et de pomme reinette, un soupçon de brioche et de grillé au nez, une bouche ronde avec une finale douce-amère. Un champagne sans chichis idéal lors des apéros entre copains. 20 €
Guyot-Guillaume brut rosé
Très majoritaire, le pinot meunier (85 %) accentue les arômes de petits fruits rouges, avec des notes florales et herbacées dans ce rosé d’assemblage qui séduit par sa rondeur en bouche et sa finale légèrement sucrée. Un grand rosé à boire avec un dessert à la crème de marron ou une panna cotta. 23 €
Michel Hatat, rosé de saignée
Terminons ce tour d’horizon avec ce 100 % pinot meunier issu des vendanges 2020. L’aromatique sur la cerise, la fraise mûre et les agrumes confits, la bouche onctueuse, une finale sur les fruits acides, en font un excellent compagnon pour un curry de crevettes sur pates fraiches. 25 €
L’abus d’alcool est dangereux pour votre santé, à consommer avec modération.
Conventionnels ou bio, classés par cépages, assemblages, blancs de blancs ou blancs de noirs, brut nature (ou zéro dosage), brut ou extra-brut, issus de la Cote des Bar, la Côte des Blancs, de la Montagne de Reims ou de la Vallée de la Marne, la palette des champagnes offre une diversité déroutante.
Vous connaissez les maisons Moet et Chandon, Krug, Ruinart, Bollinger, Dom Pérignon, Veuve Cliquot, Pol Roger, Piper-Heidsieck, Pommery, Lanson, Mercier, Taittinger ou encore Laurent Perrier, qui ont les moyens de financer d’onéreuses campagnes de communication (10 à 15 % du prix de la bouteille). Face à ces mastodontes, il est des vignerons qui font la différence avec des champagnes de caractère, à des prix accessibles. Pourquoi ne pas les déguster au cours d’un repas ?
Vins – Dégustation. Notre sélection de champagnes de vignerons : bullez sans vous ruiner ! – Le Dauphiné Libéré
février 19, 2025 4 Mins Read
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